Auteur :
Mathieu Albaizeta
Editeur :
Salon du Manuscrit
Nombres
de pages : 93 pages
Résumé :
L’histoire commence dans les années soixante et Louise
est une femme heureuse. Elle se marie avec René, un homme charmant et agréable.
De leur union sont nés Michel et Corinne. La famille a tout pour être heureuse
avec une mère au foyer d’une gentillesse sans limite et un père attentionné.
Des senteurs de parfums
étrangers émanant de René vont bouleverser la vie de Louise et la plonger dans
un mutisme déconcertant. Quand la haine remplace l’amour et que l’amour
pardonne tout, entrez dans une histoire touchante et poignante. Un récit plein
d’émotions qui ne laissera pas indifférent…
Vous allez finir par entrer
dans le personnage de Louise et vivre toutes ses émotions avec un réalisme
déconcertant…
Mon Avis :
J’ai pris le temps de
découvrir l’auteur avant son écriture. Monsieur Mathieu Albaizeta est un jeune
homme de 32 ans, rempli d’humour, de bonnes intentions. On le sent dés le premier
échange attentionné envers ses lecteurs, c’est quelqu’un de très doux dans ses
propos. Un auteur très proche de ses lecteurs. Il se veut tento discret tento
drôle. Diverses facettes de sa personnalité m’ont été dévoilées et je suis persuadée
qu’il en existe encore beaucoup qui m’étonnerait. J’ai eu un réel coup de cœur
pour l’auteur en lui-même avant même de recevoir son ouvrage qui m’a vite été
envoyé !
Quand j’ai enfin reçu son
livre, je me suis d’abord dit que je devais le lire rapidement, mais dans mon
esprit, il en était tout autre je n’avait pas encore le temps d’apprécier à sa
juste valeur les 93 pages de sentiments, d’émotions, de passion ou tout
simplement d’histoire. J’ai laissé ce roman airé dans mon appartement, je l’amenais
avec moi un peu partout dans mon sac a main, dans les toilettes, sur mon canapé
et le soir quand je m’endormais il était là prés du lit à attendre que je
prenne enfin le temps de le découvrir, je voulait lui laisser le temps de m’apprivoiser
avec ses mots. J’ai du le dédramatiser car sans le lire je me rendais bien
compte qu’il me chamboulerait, rien que le titre me donnait des frissons, sans
même savoir ce qu’il détenait comme un secret lourdement caché et qui m’était
offert. Je l’ai pris en photo sous différente couture, pour le rendre
moins dangereux, je sentais une arme prête à exploser dans mon Ame, lecteur je
suis une petite fille fragile … Il m’a fallut parler un peu plus savoir que
l’auteur ne se jouerait pas de moi… La chouette muette c’était moi a ce moment
…
Finalement, après 3 jours à
le balader partout avec moi, même dans les moments les moins glamours de ma
vie. Je me suis décidée à le lire. Oui, je t’avoue que cela a traîné, je ne
sais pas trop comment l’expliquer mais parfois quand tu achètes un livre tu le
poses et puis tu sens que tu le liras pas tout suite. Qu’il faut le laisser
visiter ton intérieur, le laisser s’habituer, parmi les autres nombreux livres.
Et bien c’était un peu ça sans le « parmi les autres livres » je le
voulais prés de moi, pour ne pas rater l’occasion de l’ouvrir et de m’en
délecter, tu comprends ?
En le commençant, je me suis
rendue compte, qu’il avait une façon très particulière d’écrire, déjà pour
commencer on arrive un peu dans le rôle d’une personne qui connaît l’histoire
mais qui n’en fait pas parti, puis ensuite on s’approprie un rôle de voyeur, un
peu malsain mais on s’y fait. Par la suite on est l’impuissant face à du
désarroi, de la fragilité, de la douleur. On veut crier et taper ! On veut
se battre points et dents dehors pour protéger l’honneur de Louise. Puis vient
ensuite le mal de l’âme, le cœur qui saigne et les larmes qui coulent à flot
sans s’arrêter pendant des heures. Tu connais cette sensation lecteur quand tu
es là impuissant face à une injustice, que tu cries de toutes tes forces quitte
a t’en faire mal, à te lacérer pour sortir de ces chaînes qui te retiennent
puissamment contre ce mur qui t’oblige à subir toutes ces scènes sans pouvoir
réagir, comme si ta bouche était cousue mais que tu essayais d’expliquer sans
succès qu’il faut se battre. Un coup de cœur poignant.
Puis tout se termine, il fait
nuit, le jour s’est tu, la lune s’est faufilée tout en haut et veille sur la
peine que tu ressens pour une histoire déjà terminée mais qui se reproduit tous
les jours sur terre …..
Affi’
Un immense plaisir de lire cette chronique !!
RépondreSupprimerAmis lecteurs , vous avez soif d'émotions, venez découvrir la femme muette ;)
Merci de se petit commentaire :) j'ai encore soif d'émotions ... comment fait ont ?
SupprimerOh alors là tu m'intrigue !! Je sens qu'il va me falloir se livre car j'aime ce genre d'histoire poignante, touchante, pleine de sentiments qui nous font aller dans tous les sens... Merci !
RépondreSupprimerJe te le recommande vraiment ! il est vraiment superbe et je pense que chaque femme et j'irait même plus loin chaque être humain devrait le lire ...
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